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La toxicomanie n’est pas un problème nouveau. Il suffit de regarder des séries historiques comme The Knick ou de lire des livres d’histoire pour trouver des exemples d’abus de substances dans le passé. La seule vraie différence est qu’à l’époque, les gens ne cachaient pas aussi bien leurs habitudes.
De nos jours, tout le monde sait que l’abus de substances n’est pas acceptable, mais si les personnes concernées sont plus enclines à trouver des moyens détournés pour cacher leurs habitudes, cela ne signifie pas que cela ne se produit pas encore, et avec la mobilité mondiale, cela signifie souvent qu’un dépistage international est nécessaire.
Le problème de l’abus de substances
À première vue, de nombreuses personnes peuvent s’interroger sur la nécessité d’un dépistage de drogues et d’alcool ou d’un dépistage international pour ce type de problèmes. Certains estiment que tant que les gens peuvent faire leur travail, ce qu’ils font pendant leur temps libre ne regarde qu’eux.
C’est un argument raisonnable à première vue, mais il y a un problème plus profond.
Dans la plupart des cas d’abus de substances, la personne qui consomme la substance devra en consommer de plus en plus pour obtenir le même effet. Ils peuvent devenir dépendants de la substance pour fonctionner, et ils peuvent utiliser plus d’une substance pour rester dans un état « normal ». C’est le cas des alcooliques, qui consomment des drogues comme la cocaïne pour se remettre d’aplomb après une soirée bien arrosée.
Au fur et à mesure que les gens s’enfoncent dans la toxicomanie, ils ont besoin de plus en plus de substances pour obtenir le même effet, leur comportement et leur jugement sont affectés, et ils peuvent même avoir recours au vol ou à la malhonnêteté pour obtenir l’argent nécessaire pour financer leur dépendance. Autant d’éléments qu’il est préférable de ne pas retrouver sur son lieu de travail.
Prévalence en Australie
Vous pensez peut-être que l’Australie est relativement isolée de la culture de la drogue, mais ce n’est pas vrai. En fait, dans une étude réalisée en 2004 par le NDSHS, plus de 46 % de tous les travailleurs interrogés avaient consommé des drogues à un moment donné de leur vie, plus de 10 % d’entre eux déclarant en avoir consommé au cours du mois précédent.
Ces chiffres ne peuvent qu’augmenter et, s’ils sont pris au pied de la lettre, cela signifie que chaque fois que vous avez dix personnes dans une pièce de votre immeuble de bureaux, l’une d’entre elles est un toxicomane actif.
Types d’abus
La toxicomanie est un sujet délicat, que la plupart des employeurs redoutent. Qu’il s’agisse de tester de nouvelles recrues ou de résoudre des problèmes au sein de votre personnel existant, vous y serez confronté à un moment ou à un autre.
La bonne nouvelle, c’est que toutes les personnes dont le test est positif à une substance ne sont pas des toxicomanes endurcis. En fonction de la substance et de l’usage qu’ils en font, ils peuvent être des consommateurs sociaux ou occasionnels. D’autres peuvent être des utilisateurs fonctionnels à long terme, tandis qu’une petite minorité peut devenir dépendante, comme dans des films tels que Trainspotting !
Toutes ces questions doivent être abordées, mais la méthode sera différente dans chaque cas.
Résoudre le problème
Si vous recrutez une main-d’œuvre internationale, la sélection locale et internationale des candidats peut contribuer à écarter toute personne ayant un problème de toxicomanie. En n’embauchant pas de personnes qui consomment ou abusent de drogues ou d’alcool, vous pouvez éviter de nombreux problèmes, y compris des litiges coûteux.
Disposer d’une politique écrite et détaillée en matière de drogues et d’alcool, comprenant des dispositions relatives au dépistage, au conseil et à la discipline, est une autre bonne idée, tout comme le fait de la faire respecter.
Quoi que vous fassiez en matière de consommation ou d’abus de substances, que vous soyez proactif ou réactif, ou un mélange des deux, il ne s’agit certainement pas d’un problème que vous pouvez ignorer, et vous devez prendre des mesures le plus tôt possible.
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